Tertio Idus Martii, luna tertia.
1. Pidnæ in Macedónia, sancti Alexándri, mártyris.
1. À Pydna en Macédoine, vers 309, saint Alexandre, martyr.
2. Medioláni in Ligúria, sancti Lázari, epíscopi.
2. À Milan, au Ve siècle, saint Lazare, évêque.
3. Carnúti in Gállia, sancti Leobíni, epíscopi.
3. À Chartres, vers 557, saint Lubin, évêque.
4. Quedlinbúrgi in Saxónia, sanctæ Mathíldis, quæ, uxor Henríci regis fidelíssima, humilitáte et patiéntia conspícua, in sublevándos páuperes et in valetudinária monasteriáque condénda benígnas impéndit curas.
4. À Quedlinbourg en Saxe, l’an 968, sainte Mathilde. Épouse très fidèle d’Henri, roi de Prusse, remarquable par son humilité et sa patience, elle fut très généreuse pour soulager les pauvres et construire des asiles de vieillards et plusieurs monastères. Dépouillée de ses biens par sa fille, elle se retira au monastère de Quedlinbourg pour achever sa vie dans la prière et la pénitence.
5*. In pago Fuldénsi in Germánia, sanctæ Paulínæ, religiósæ.
5*. Dans la région de Fulda en Allemagne, l’an 1107, sainte Pauline, religieuse.
6*. Leódii in Lotharíngia, beátæ Evæ Montis Cornélii, reclúsæ prope cœnóbium Sancti Martíni, quæ una cum sancta luliána, eiúsdem cœnóbii prioríssa, plúrimum óperam navávit, ut Urbánus papa Quartus sollemnitátem Córporis Christi institúeret.
6*. À Liège en Belgique, vers 1205, la bienheureuse Ève de Mont-Cornillon, recluse près du couvent de Saint-Martin. Avec sainte Julienne prieure de ce couvent, elle mit tout en œuvre pour que le pape Urbain IV institue la solennité du Corps du Christ.
7*. Panórmi in Sicília Itáliæ, beáti lacóbi Cusmano, presbyteri, qui Institútum Missionariórum Servórum et Servárum páuperum fundávit, insígni caritáte in egénos et infírmos clarus.
7*. À Palerme en Sicile, l’an 1888, le bienheureux Jacques Cusmano, prêtre, qui montra un amour éclatant pour les pauvres et les malades et fonda l’Institut des Missionnaires servants et servantes des pauvres.
Et álibi aliórum plurimórum sanctórum Mártyrum et Confessórum, atque sanctárum Vírginum.
Et en d'autres lieux, beaucoup de saints Martyrs, de Confesseurs et de  Vierges saintes.
℟. Deo grátias.
℟. Rendons grâces à Dieu.
℣. Pretiósa in conspéctu Dómini, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℣. Elle est précieuse devant Dieu, (T.P. Alléluia.)
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
Lectio brevis (Is 55, 6-7)
Lecture brève (Is 55, 6-7)
Quærite Dóminum, dum inveníri potest; invocáte eum, dum prope est. Derelínquat ímpius viam suam, et vir iníquus cogitatiónes suas; et revertátur ad Dóminum, et miserébitur eius, et ad Deum nostrum, quóniam multus est ad ignoscéndum.
Cherchez le Seigneur, pendant qu'on peut Le trouver ; Invoquez-Le, tandis qu'Il est près. Que le méchant abandonne sa voie, et le criminel ses pensées; qu'il revienne au Seigneur, et Il lui fera grâce ; à notre Dieu, car Il pardonne largement.
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Sancta María et omnes Sancti intercédant pro nobis ad Dóminum, ut nos mereámur ab eo adiuvári et salvári, qui vivit et regnat in sǽcula sæculórum. ℟. Amen.
Que sainte Marie et tous les Saints intercèdent pour nous auprès du Seigneur, afin que nous obtenions de Lui le secours et le salut, Lui qui vit pour les siècles des siècles. ℟. Amen.
Absente sacerdote vel diacono, et in recitatione a solo, sic concluditur:
En l'absence d'un diacre ou d'un prêtre, et dans la récitation seul, on conclut ainsi :

Dóminus nos benedícat, et ab omni malo deféndat, et ad vitam perdúcat ætérnam. ℟. Amen.

Que le Seigneur nous bénisse, qu'Il nous défende de tout mal, et qu'Il nous fasse parvenir à la vie éternelle. ℟. Amen.
Et fidélium ánimæ per misericórdiam Dei requiéscant in pace. ℟. Amen.
Et que les âmes des fidèles par la miséricorde de Dieu reposent en paix. ℟. Amen.
℣. Ite in pace. ℟. Deo grátias.
℣. Allez en paix. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.
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