Septimo Idus Maii, luna una.
1. Commemorátio sancti lob, admirándæ patiéntiæ viri in terra Hus.
1. Commémoraison de saint Job, que la Bible présente comme un homme juste, soumis à l’épreuve et d’une patience admirable, sur la terre d’Ous.
2. Myræ in Lycia, sancti Dioscóridis, mártyris.
2. À Myre en Lycie, vers 250, saint Dioscoride, ermite.
3. Leóntii in Sicília, sanctórum Alphii, Philadélphii et Cyrínii, mártyrum.
3. À Lentini en Sicile, les saints martyrs Alphius, Philadelphie et Cyrin.
4. Romæ via Latína, sancti Gordiáni, mártyris, qui sepúltus est in crypta, in qua iam pridem sancti Epímachi mártyris relíquiæ colebántur.
4. À Rome, sur la voie Latine, vers 303, saint Gordan, martyr, qui fut enterré dans la crypte où les reliques de saint Épimaque avaient été transportées peu auparavant.
5. Ibídem, commemorátio sanctórum Quarti et Quinti, mártyrum.
5. À Rome, également sur la voie Latine, les saints martyrs Quartus et Quintus.
6*. In Hibérnia, sancti Comgálli, abbátis, qui célebre monastérium Bancorénse fundávit atque sápiens pater ac prudens dux magni monachórum ágminis éxstitit.
6*. En Irlande, l’an 601, saint Comgall, abbé, qui fonda le célèbre monastère de Bangor, et fut le père plein de sagesse et le chef plein de prudence d’un grand essaim de moines, parmi lesquels saint Colomban.
7. Apud Taréntum in Apúlia, sancti Catáldi, epíscopi et peregríni, qui e Scótia venísse créditur.
7. À Tarente en Apulie, vers le VIe siècle, saint Catalde, moine pèlerin, venu, dit-on, d’Irlande, et considéré comme évêque de cette ville.
8*. Apud Biturígas in Aquitánia, sanctæ Solóngiæ, vírginis, quæ ad castitátem servándam martyrio se subiecísse tráditur.
8*. Dans le Berry, au IXe siècle, sainte Solange, vierge, qui se serait soumise au martyre pour conserver sa chasteté.
9*. Pontísaræ apud Parísios in Gállia, sancti Guliélmi, presbyteri, qui, anglus natióne, párochus factus animárum zelo et pietátis stúdio cláruit.
9*. À Pontoise, en 1195, saint Guillaume, prêtre. Anglais d’origine, il reçut charge d’âmes, et montra un grand zèle pastoral et une recherche de piété éclatante.
10*. Patávii in Venétia, beátæ Beatrícis Esténsis, vírginis, quæ cœnóbium Gémmulæ in cóllibus Eugáneis instítuit et, brevi quidem vitæ Spátio, árduum sanctitátis iter moniális perégit.
10*. À Padoue en Vénétie, l’an 1226, la bienheureuse Béatrice d’Este, vierge moniale, qui fonda dans les collines Euganéennes, le monastère de Gemmola et, au cours d’une brève existence, parcourut un chemin ardu de sainteté.
11*. Senis in Etrúria, tránsitus beáti Nicolái Albergati, epíscopi Bononiénsis, qui iúvenis in Ordinem Cartusianórum ingréssus est et, epíscopus ordinátus, zelo pastoráli et apostólicis legatiónibus Ecclésiæ magnópere prófuit.
11*. À Sienne en Toscane, l’an 1443, le trépas du bienheureux Nicolas Albergati, évêque de Bologne. Entré jeune dans l’Ordre des Chartreux, puis ordonné évêque, il rendit le plus grand service à l’Église par son zèle pastoral et ses légations apostoliques.
12. Montíliæ in Vandalícia Hispániæ província, sancti Ioánnis de Abula, presbyteri, qui cunctam Bæticam regiónem Christus pr dicans pererrávit et, iniúste de hæresi suspicátus, in cárcerem trusus est, ubi præcípuam doctrínæ suæ spiritális partem scripsit.
12. À Montilla en Andalousie, l’an 1529, saint Jean d’Avila, prêtre, qui parcourut toute la région en prêchant le Christ et, suspecté injustement d’hérésie, fut jeté en prison, où il écrivit la plus grande partie de sa doctrine spirituelle.
13*. Zagábriæ in Croátia, beáti Ioánnis Merz, qui, humanárum litterárum stúdio et institutióni déditus, fúlgidum iuvénibus præbuit exémplum magístri Christi fídei inníxi et navitátis christifidélium laicórum in provéctum societátis.
13*. À Zagreb en Croatie, le Bienheureux Jean Merz, fut le promoteur du mouvement liturgique en Croatie et le pionnier de l’Action catholique selon les directives de Pie XI, créant également un mouvement pour les jeunes, qu’il anima jusqu’à sa mort.
14*. Cremónæ in Itália, beáti Henríci Rebuschini, presbyteri ex Ordine Clericórum Regulárium Ministrántium Infírmis, qui in valetudináriis ægrótis simplíciter servívit.
14*. À Crémone en Lombardie, l’an 1938, le bienheureux Henri Rebuschini, prêtre de l’Ordre des clercs réguliers ministres des malades, qui fut toujours au service des malades dans les hôpitaux, avec simplicité et dans une intense vie d’union à Dieu.
Et álibi aliórum plurimórum sanctórum Mártyrum et Confessórum, atque sanctárum Vírginum.
Et en d'autres lieux, beaucoup de saints Martyrs, de Confesseurs et de  Vierges saintes.
℟. Deo grátias.
℟. Rendons grâces à Dieu.
℣. Pretiósa in conspéctu Dómini, (T.P. Allelúia.)
℟. Mors sanctórum eius, (T.P. Allelúia.)
℣. Elle est précieuse devant Dieu, (T.P. Alléluia.)
℟. La mort de Ses saints (T.P. Alléluia).
Verbum Dómini. ℟. Deo grátias.
Parole du Seigneur. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Sancta María et omnes Sancti intercédant pro nobis ad Dóminum, ut nos mereámur ab eo adiuvári et salvári, qui vivit et regnat in sǽcula sæculórum. ℟. Amen.
Que sainte Marie et tous les Saints intercèdent pour nous auprès du Seigneur, afin que nous obtenions de Lui le secours et le salut, Lui qui vit pour les siècles des siècles. ℟. Amen.
Absente sacerdote vel diacono, et in recitatione a solo, sic concluditur:
En l'absence d'un diacre ou d'un prêtre, et dans la récitation seul, on conclut ainsi :

Dóminus nos benedícat, et ab omni malo deféndat, et ad vitam perdúcat ætérnam. ℟. Amen.

Que le Seigneur nous bénisse, qu'Il nous défende de tout mal, et qu'Il nous fasse parvenir à la vie éternelle. ℟. Amen.
Et fidélium ánimæ per misericórdiam Dei requiéscant in pace. ℟. Amen.
Et que les âmes des fidèles par la miséricorde de Dieu reposent en paix. ℟. Amen.
℣. Ite in pace. ℟. Deo grátias.
℣. Allez en paix. ℟. Rendons grâces à Dieu.
Les traductions proposées ici ont pour seul but une meilleure compréhension du texte latin. Elles ne doivent pas être utilisées à la place des traductions officielles dans la liturgie en langue vernaculaire, qui sont (c) AELF.
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